Rencontre entre Mme Rita Marrero (projet Margullar) et Mme Guiomar Alonso Cano (Responsable secteur Culture). Bureau régional de l’UNESCO à Dakar. Jeudi 20 septembre 2018 à 16h à l’UNESCO.

Dans le cadre de l’exécution des activités du projet Margullar au Sénégal, Mme Rita Marrero, chef de file du projet a rencontré la responsable du secteur Culture de l’UNESCO à Dakar.

Cette rencontre a permis à Mme Marrero d’exposer les objectifs du projet Margullar et plus particulièrement au Sénégal. Elle a aussi rappelé le point essentiel qui rejoint la politique de l’UNESCO et concernant la ratification de la convention de 2001 et sa mise en œuvre au Sénégal et au Cabo Verde, deux pays couverts par le Bureau de l’UNESCO à Dakar.

Ensuite Elle a fait part à l’UNESCO, de l’élaboration du projet Margullar 2 qui constitue une suite logique de Margullar 1 et permettrait sans doute aux partenaires de consolider et exploiter les résultats de cette première phase.

Mme Guiomar quant à elle, a félicité le projet Margullar et apprécie cette démarche adoptée par ce programme dans les différentes zones de la Macaronésie. Elle a ensuite rappelé la  mission du bureau Régional de l’UNESCO à Dakar, qui participe à la mise en œuvre des politiques de l’UNESCO dans les sept (7) pays couverts (Burkina Faso – Niger- Mali-  Gambie- Guinée Bissau- Cabo Verde- Sénégal). Le Bureau de Dakar est en train de mettre en exécution la convention de 2001 sur la protection du patrimoine culturel subaquatique en Afrique de l’Ouest d’où l’organisation d’une réunion sous Régionale sur la question de la ratification et la mise en œuvre de cette convention dans la région. Mme Guiomar a par ailleurs invité la chef de file, Mme Rita Marrero à venir participer à cette réunion prévue en décembre 2018 à Dakar.

Mme. Guiomar et Mme Rita Marrero, réunies au Bureau de l´UNESCO de Dakar.

Concernant Margullar 2, elle a proposé quelques actions que les partenaires du Sénégal et de Cabo Verde pourraient réaliser. Par exemple au Sénégal, la création d’un centre d’interprétation ouvert à Gorée permettrait de valoriser le patrimoine archéologique sous-marin de l’île. Aussi, elle a souligné l’importance de continuer la formation de ressources humaines compétentes au Sénégal et au Cabo Verde. Et enfin, Mme Guiomar a proposé un partenariat entre l’UNESCO et le projet Margullar dans l’exécution de Margullar 2 dans ces deux pays Tiers.